a présence inopinée d’enfants dans un presbytère suffit à faire perdre le sommeil et l’appétit à son curé.
Une comédie doucement ironique qui confronte les idéaux à une bruyante « revanche des berceaux ».
« Il serait quand même temps qu’on découvre l’existence du Canada, autrement que par la police montée de Hollywood et le sentier de la vengeance. Si on commençait par se connaître entre canadiens, c’est-à-dire si on se rencontrait en amitié, en confiance, pour rire un peu de nous-mêmes, il y aurait là signe de maturité. Faisons-nous tous complices de se moquer de nos travers, de nos génies, de nos grands, de nos petits et voilà que peut-être le grand et jeune peuple canadien se verra face à face avec son propre esprit et qu’après comparaison, il ne le trouvera pas plus bête que l’esprit d’ailleurs » – Félix Leclerc, auteur
* Cette comédie a été créée le 16 février 1956, au Théâtre Monument-National, à Montréal, sous la présidence de S. H. le maire Jean Drapeau et sous les auspices de la Société d’Étude et de Conférences.
** La musique est tirée de la suite « Coucher de soleil » composée par Hector Gratton, pour un conte de Félix Leclerc.
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Mise en Scène
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C Antoine Désilets
Leclerc
Distribution
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C Gaby
Béliveau -
C Robert Skinner
Fruitier -
C Paul-Henri Talbot
Huot
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Une pièce de
Félix Leclerc
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Mise en scène
Félix Leclerc
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Concepteurs
Décors JAC PELL Costumes PONTON Trame sonore GUY MAUFFETTE