La volupté de l’honneur
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La volupté de l’honneur

L

a critique universelle a signalé « l’apport de Pirandello à l’œuvre de dissociation et de démolition concernant spécifiquement le problème de la personnalité », ainsi que la langue nuancée et dynamique et le style extrêmement attachant de ce grand dramaturge.

Ce dramaturge dont l’œuvre théâtrale, dépeint l’homme comme un être morcelé, incapable de se retrouver lui-même, conduit ici les péripéties de la vie, si abstraites soient-elles, avec une rare exigence.

« Lorsque quelqu’un vit, il vit et ne se voit pas. Et bien, mettez-lui un miroir devant les yeux, afin qu’il se voie en train de vivre, en proie à ses passions: ou bien il sera étonné et abasourdi par l’aspect qu’il présente, ou bien il détournera les yeux pour ne pas se voir, ou bien, il crachera sur son image, ou bien encore, furieux, il voudra la briser d’un coup de poing; et s’il pleurait, il ne peut plus pleurer, et s’il riait, il ne peut plus rire. Bref, une situation douloureuse naît forcément, et cette situation douloureuse, c’est mon théâtre. » – Luigi Pirandello

 

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  • Une pièce de

    Luigi Pirandello

  • Mise en scène

    Danièle J. Suissa

  • Concepteurs

    Décors ROBERT PRÉVOST Costumes FRANÇOIS BARBEAU Accessoires LUC LEFLAGUAIS Trame sonore ADRIEN GODDU, CLAUDE DUFRESNE Chapeaux JULIENNE ARAS Coiffures JEAN-YVES

  • Conception de l'affiche

    © Gérald Zahnd

  • Photos de production

    © Guy Dubois