Les innocentes
- Une pièce de
- Traduction
- Mise en scène et dramaturgie
omment une rumeur malveillante, lancée par une élève à l’encontre de ses deux professeurs, va bouleverser la vie d’une petite communauté.
Deux grandes amies, Karen et Marthe, après avoir fondé ensemble un pensionnat pour jeunes filles, deviennent subitement la cible d’un ragot mensonger au sujet de leur relation. Cette calomnie est lancée par Marie, une enfant qui désire attirer l’attention et qui manipule son entourage en rapportant des propos ambigus. Madame Tilford, mécène du pensionnat, croit d’emblée la fausse confession de sa petite-fille et accuse les deux professeurs d’actions « contre nature ».
Écrite en 1934, l’œuvre met en lumière le pouvoir du mensonge et aborde le sujet tabou de l’homosexualité – qui plus est, entre femmes – dans une société alors très puritaine. Lillian Hellman était bien connue pour ses prises de positions radicales et il est troublant de constater à quel point les enjeux abordés à l’époque dans Les Innocentes résonnent encore avec force aujourd’hui.
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Mise en Scène
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C Laurent Theillet
Cyr
Distribution
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C Édith Carpels
Bélizaire -
C Andréanne Gauthier
Côté -
C Andréanne Gauthier
De Morais-Nogueira -
C Angelo Barsetti
Drapeau -
C Julie Perreault
Erkoreka -
C Andréanne Gauthier
Goyer -
C Jean-François Bérubé
Lachapelle -
C Annie Éthier
Laurendeau -
C Annie Éthier
LeBlond -
C Francis-William Rhéaume
Lévesque-Rainville -
C Marc-Antoine Zouéki
Rodrigue
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Une pièce de
Lillian Hellman
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Traduction
André Bernheim
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Mise en scène et dramaturgie
René Richard Cyr
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Assistance à la mise en scène
Marie-Hélène Dufort
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Concepteur
Scénographie JOSÉE BERGERON-PROULX Costumes CYNTHIA ST-GELAIS Éclairages ERWANN BERNARD Musique ALAIN DAUPHINAIS Accessoires ALAIN JENKINS Perruques et coiffures RACHEL TREMBLAY Maquillages JEAN BÉGIN
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Photo de l'affiche
© Henri Paul
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Photos de répétition
© François Laplante Delagrave
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Photos de production
© Jean-François Hamelin