Antigone
17.02.52 17.02.52

Antigone

A

près le suicide de sa mère Jocaste et l’exil de son père Œdipe, les deux frères d’Antigone, Étéocle et Polynice, se sont entre-tués pour le trône de Thèbes. Créon, frère de Jocaste, devient ainsi le nouveau roi et décide de n’offrir de sépulture qu’à Étéocle et non à Polynice, qualifié de voyou et de traître.

Il avertit par un édit que quiconque osera enterrer le corps du renégat sera puni de mort. Personne n’ose braver l’interdit et le cadavre de Polynice est abandonné au soleil et aux charognards. Mais Antigone refuse cette situation et, malgré l’interdiction de son oncle Créon, elle se rend plusieurs fois auprès du corps de son frère et tente de le recouvrir avec de la terre. Ismène, sa sœur, ne veut pas l’accompagner car elle a peur de Créon et de la mort.

Antigone est prise sur le fait par les gardes du roi. Créon est donc obligé d’appliquer la sentence de mort à Antigone. Après un long débat avec son oncle sur le but de l’existence, celle-ci est condamnée à être enterrée vivante. Mais au moment où le tombeau va être scellé, Créon apprend que son fils, Hémon, fiancé d’Antigone, s’est laissé enfermer auprès de celle qu’il aime…

* Pièce jouée par la troupe du Rideau Vert au Théâtre du Gesù, à l’occasion du Festival Dramatique de l’Ouest du Québec (Dominion Drama Festival). Le Théâtre du Rideau Vert, avec ce spectacle, est la première troupe professionnelle invitée par le Dominion Drama Festival à jouer hors-concours.

** Les informations concernant la présentation de cette pièce sont partielles ; la distribution mentionnée ci-bas pourrait ne pas être complète.

Mise en Scène

Distribution

  • Une pièce de

    Jean Anouilh

  • Mise en scène

    Loïc Le Gouriadec